De la mob à la moto, des plaques de choco à la bedaine bref, de ses vertes années à ses années au vert, Lucien n'a pas changé... ou un peu, si... mais en tout cas pas plus que vous, au contraire ! Car Lucien est un cas rare, très rare : l'un des seuls héros à vivre dans le même espace-temps que nous, ses fans. C'est un peu comme si Barbie montrait ses vergetures ! Enfin, non pas si trash, quand même... Car le mot qui revient le plus à son propos, c'est «sympa», dans le sens le meilleur et le plus agréable du terme. Dans ce dixième tome, on retrouve Lucien en pleine(s) forme(s) qui lui même - toujours entouré de sa famille -retrouve ses potes. C'est jouissif, c'est rock, ça sent la gomme et c'est Lucien, c'est du Margerin !